En tant qu’étudiant en école de commerce, je constate chaque jour les effets d’une circulation automobile trop dense : pollution, bruit, insécurité et baisse de la qualité de vie. Réduire la place de la voiture est indispensable pour réussir la transition écologique et améliorer la vie en ville. Cela doit s’accompagner d’investissements massifs dans les transports publics afin d’offrir une alternative fiable, accessible et durable pour tous.
En tant qu’étudiant vivant régulièrement dans les grandes villes, je suis directement confronté aux conséquences d’une circulation automobile trop importante : pollution de l’air, nuisances sonores, congestion et cadre de vie dégradé. Pour les jeunes qui se déplacent principalement à pied ou en transports, cela rend le quotidien plus difficile, et cela a un impact réel sur la santé, notamment pour les personnes asthmatiques ou sensibles.
Réduire la présence des voitures en ville est devenu une nécessité. Si la France veut réussir sa transition écologique, elle doit diminuer de manière significative l’usage des véhicules individuels dans les espaces urbains. Tant que la voiture restera la solution la plus simple, aucune transformation profonde ne pourra réellement commencer.
C’est pourquoi je soutiens une politique visant à limiter fortement, voire à interdire progressivement les véhicules dans les grandes et moyennes villes. Cette mesure permettrait d’améliorer la qualité de l’air, de réduire les maladies respiratoires, de sécuriser les déplacements et de rendre les centres-villes plus agréables pour les étudiants, les familles et l’ensemble des habitants.
Cependant, cette transition ne pourra réussir que si elle s’appuie sur un investissement sérieux dans les transports publics : développement des bus non polluants, extension des tramways et métros, amélioration de la fiabilité des trains régionaux et création de pistes cyclables réellement sécurisées. Ces alternatives sont essentielles pour permettre à ma génération, et à celles qui suivront, de se déplacer facilement tout en réduisant notre impact environnemental.
Réduire la place de la voiture en ville, ce n’est pas restreindre les libertés. C’est au contraire rendre la ville plus respirable, plus calme et plus humaine, tout en répondant à l’urgence écologique. C’est une évolution nécessaire pour construire un cadre de vie sain, durable et adapté aux besoins de tous, et en particulier de la jeunesse qui sera la plus concernée par les conséquences du dérèglement climatique.